Sallinger, 8 mars 2012

Après une semaine de travail à la table, nous avons retraversé la pièce en lecture. Un peu plus d’espace entre les acteurs, entendre le texte avec un peu plus de distance.

Comment cela sonne !

Quelques musiques…

Une vision globale après et avant le retour au travail de détail.

Si la question du désir a toujours était présente dans les textes et articles que j’aie pu lire, elle m’apparait aujourd’hui comme un sujet récurrent. Et plus qu’un sujet, une force souterraine qui transforme le texte en une parole profonde, en une confession. Quelque chose d’un témoignage, d’un mouvement intérieur…

Lucrecia Capello, Ma. Photo : Marianna Cecchini.

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